Rachat de crédit simulation

Simulateur de regroupement de prêt en ligne avec réponse immediate

Comment faire un rachat de crédit immobilier après une séparation ?

La rupture d’un mariage ou d’un contrat de PACS n’est pas une situation simple. En plus de la détresse émotionnelle ressentie, il est nécessaire de régler les questions financières découlant de cette décision. La fin de la vie commune a des répercussions sur les actifs et les engagements auprès des banques. Si le couple souhaite reconstruire un fonds pour rebondir dans la vie mais qu’aucune des deux parties ne peut racheter la part de l’autre, il est possible de mettre en vente le bien immobilier ou d’ opter pour le regroupement de prêts. Zoom sur le rachat de crédit en cas de divorce.

Tout d’abord, commençons par expliquer ce qu’est le rachat de crédit immobilier. Avant de procéder à cette opération, il est important de connaître les règles qui la régissent. Supposons qu’un couple a investi dans des équipements électroménagers, des meubles, etc. Ils ont également contracté un prêt immobilier pour acheter leur résidence principale pendant leur vie commune. En contractant le crédit immobilier, les deux parties ont signé le contrat et se sont engagées ensemble à rembourser le crédit. En cas de séparation officialisée par un divorce, il est alors nécessaire de procéder au partage des biens communs.

Lorsqu’il s’agit de l’acquisition d’un bien en commun, le régime de l’indivision s’applique. Le droit de propriété est réparti proportionnellement à la part de chacun des époux (moitié-moitié, 40/60, etc.). Il est possible que le logement soit mis en vente, mais il est également possible que l’un des conjoints souhaite le conserver. Dans ce cas, il doit racheter la part de l’autre en lui versant une soulte. Pour connaître le montant de la soulte à payer, il est nécessaire de demander un tableau d’amortissement à l’institution bancaire qui a accordé le crédit. Cela permet de vérifier le montant total restant à rembourser.

La trésorerie obtenue grâce au rachat de crédit sert alors à verser la part au conjoint qui ne conserve pas le bien immobilier, tout en étalant le remboursement du crédit immobilier sur une plus longue durée. Cette solution permet également de réduire le montant des mensualités à payer chaque mois. Ainsi, le budget s’en trouve amélioré, même si le montant total du crédit est augmenté.

Bon à savoir :

Lors de la mise en place d’un regroupement de dettes, il est bénéfique de faire appel à un intermédiaire bancaire spécialisé dans le crédit ou à un courtier. Ce professionnel peut constituer le dossier et étudier sa faisabilité. Surtout dans une situation perturbante comme la séparation ou le divorce, il peut rapidement trouver la solution efficace pour résoudre le problème de la soulte. Contrairement aux idées reçues, ce ne sont pas toujours les personnes surendettées qui ont recours à cette opération bancaire. En effet, le divorce est le motif le plus courant pour ceux qui optent pour le rachat de crédit.

Une séparation peut avoir des conséquences sur votre situation financière. En effet, vous devrez assumer toutes les charges du ménage : factures, enfants, nourriture, etc. Afin de minimiser les risques de surendettement et de faciliter la gestion de votre budget mensuel, le rachat de crédit s’impose. Lors de la simulation, vous devrez indiquer vos revenus actuels et vos charges en cours, ce qui vous permettra de trouver les conditions de remboursement idéales adaptées à votre nouvelle situation. Il est important de noter que si vous vous êtes engagé à deux dans le crédit immobilier, votre ex-conjoint conserve toujours la responsabilité de payer sa part.

Si l’autre partie souhaite partir avec une compensation, celui qui garde le bien immobilier doit également assumer les prêts qui y sont associés. De plus, la convention de divorce doit clairement stipuler les informations concernant la personne qui reprendra le crédit immobilier. Il est préférable de rechercher un taux de rachat avantageux afin de ne pas se retrouver en situation de surendettement avec plusieurs crédits.

Le TAEG, un élément crucial

Même s’il n’y a qu’un ou deux prêts à la consommation et un crédit immobilier, le TAEG (Taux Annuel Effectif Global) revêt une importance capitale. Il est donc préférable d’effectuer une simulation en ligne pour trouver l’institution bancaire ou l’organisme de rachat qui propose les conditions les plus avantageuses. Pour un crédit à long terme, ce taux d’intérêt est un facteur non négligeable.

Les éléments du dossier

Dans le cadre d’une constitution de dossier de rachat de crédit, il faut également tenir compte des points suivants :
Lors de la constitution d’un dossier de rachat de crédit, il est également important de prendre en compte les éléments suivants :

  • L’accord du conjoint est nécessaire pour la restructuration des dettes. Il n’est donc pas possible d’agir si le divorce est encore en cours.
  • Si l’un des conjoints choisit de verser une soulte, ce montant sera ajouté à la totalité des crédits à racheter. L’autre conjoint réglera sa part après le déblocage des fonds.
  • Si l’un des conjoints opte pour une rente, cette charge sera également intégrée au rachat du crédit. Cependant, il est important de comprendre que cette charge aura un impact sur le taux d’endettement de l’époux qui reprend le prêt.
  • Il est également possible d’inclure le montant à reverser à l’autre partie dans une trésorerie supplémentaire. Si la personne qui effectue la demande dispose de revenus réguliers et d’une situation financière confortable, il est possible d’obtenir facilement un rachat avec un fonds supplémentaire. Ce fonds doit naturellement bénéficier d’un taux fixe, tout comme la restructuration des dettes.
  • Enfin, la garantie hypothécaire est une solution qui permet de sortir de l’endettement en optant pour le rachat de crédit ou une demande de crédit hypothécaire.
Accord ou autres options ?

Il est essentiel de contacter sa banque afin de vérifier s’il est possible de dissocier le prêt immobilier. En cas de réponse positive, l’établissement bancaire renonce alors à la garantie de l’autre conjoint. Seule la garantie de l’autre reste en place jusqu’à la fin du remboursement du rachat de crédit. La banque peut également demander d’autres garanties réelles, telles qu’une caution mutuelle ou une hypothèque. En résumé, un accord amiable entre les conjoints co-titulaires de la maison est essentiel pour éviter les complications financières et obtenir l’approbation du rachat de crédit. Il ne faut pas oublier qu’une situation non résolue peut conduire à l’inscription au FICP (Fichier des Incidents de remboursement des Crédits aux Particuliers).

Que faire en cas de réponse négative ou s’il n’y a pas un terrain d’entente ?

Si le regroupement de dettes est difficile, il est possible d’envisager la vente du bien immobilier en faisant appel à une agence immobilière. Cependant, la vente peut prendre du temps, ce qui ne facilite pas les choses. Si le couple décide d’attribuer la maison à l’un des conjoints, le jugement de divorce peut prendre cette décision et le rachat du crédit sera plus simple. Enfin, si les époux ne parviennent pas à trouver un compromis, ils peuvent conserver la maison en indivision pendant 5 ans, renouvelables. Cela leur permet de planifier une organisation sans accrocs pour le remboursement du reste du crédit. Ils peuvent également décider qui occupera la résidence ou s’ils vont la louer.

Si une demande de regroupement de dettes d’un emprunteur séparé est refusée par une institution bancaire, il ne faut pas perdre espoir. En effet, un dossier peut être refusé par une banque mais accepté par une autre. Tout dépend de la négociation et de l’expertise du courtier si l’emprunteur fait appel à un professionnel du courtage.

Faites appel à un courtier

Lorsqu’un dossier est refusé, il est recommandé de faire appel à un courtier spécialisé dans le rachat de crédit difficile. Pourquoi ? Parce qu’un courtier non exclusif des banques est le mieux placé pour trouver une offre de regroupement de dettes abordable pour ce profil. Il sait quelle banque accepte tel ou tel profil et quels arguments présenter pour obtenir l’approbation d’une demande de rachat.

Un échange gagnant – gagnant

Plus l’accès à cette solution de sortie de l’endettement est retardé, plus l’emprunteur est confronté à des difficultés financières et à des pénalités dues au retard des paiements mensuels. C’est pourquoi il est conseillé de se tourner rapidement vers d’autres courtiers, de préférence un courtier non exclusif des banques, pour orienter directement le dossier vers la banque qui peut l’accepter. Il est important de noter que l’emprunteur n’aura rien à payer en termes de commissions ou de frais de montage de dossier lorsqu’il fait appel à un courtier. Il règle la commission uniquement après avoir signé la proposition de rachat de crédit trouvée par le courtier.

Tout d’abord, il convient de rappeler la définition de la soulte : il s’agit d’une somme d’argent versée par l’un des conjoints indivisaires afin de devenir l’unique propriétaire d’un bien dont ils étaient tous les deux propriétaires en indivision. En pratique, chaque conjoint possède une partie du bien concerné.

De quoi parle-t-on exactement ?

On parle de soulte lorsqu’il s’agit d’un cas de divorce ou de séparation. En résumé, la soulte est une compensation monétaire versée par l’un des conjoints en cours de divorce pour :

  • garder la maison ou l’appartement,
  • racheter la part de l’autre conjoint en lui versant une soulte.

On parle alors de « rachat de soulte ».

Le rachat d’une soulte peut concerner le cas d’une :

  • rupture de PACS,
  • une succession où il y a partage de bien,
  • une entreprise,
  • une SCI et évidemment le cas d’une séparation d’un couple.

Généralement, le cas le plus courant est le rachat de soulte qui représente une compensation financière versée par l’un des conjoints pour obtenir la pleine propriété d’un bien acquis en commun.

Les étapes d’un rachat de soulte

Lorsque les conjoints décident de mettre fin à leur union, il existe des étapes à suivre lors d’un rachat de soulte, qui représente un transfert de propriété. Il est nécessaire de consulter un notaire, qui est compétent juridiquement pour établir un acte notarié et déterminer les frais associés à cet acte. Cependant, le rachat de soulte doit être précédé de certaines questions. Les deux conjoints sont-ils d’accord pour le rachat de soulte ? La personne qui souhaite racheter la soulte dispose-t-elle des capacités financières nécessaires ?

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