Rachat de crédit simulation

Simulateur de regroupement de prêt en ligne avec réponse immediate

Rachat de crédit pour profession agricole

L’endettement excessif touche la plupart des secteurs d’activité : de l’artisan et commerçant aux fonctionnaires et salariés du secteur privé en passant par les agriculteurs et les éleveurs. Personne n’est épargné. Parmi eux, il y a certains profils à risque auxquels les établissements bancaires hésitent à accorder des crédits ou des restructurations de dettes. Les exploitants agricoles figurent dans cette catégorie. Lorsqu’ils traversent une période difficile, ils ont du mal à trouver un financement. Néanmoins, certains établissements financiers peuvent accepter leur demande de rachat. Le point.

Qu’ils cultivent des vignes, des terres ou qu’ils élèvent du bétail, les exploitants agricoles dépendent souvent des emprunts bancaires. Certes, l’Union Européenne et l’Etat leur fournissent des aides pour subvenir à leurs besoins, mais ces aides s’avèrent souvent insuffisantes. Le déséquilibre de leur finance est monnaie courante. Il n’est donc pas rare qu’ils sollicitent des crédits auprès des banques pour l’achat ou le renouvellement de matériel agricole. Dans le cadre du financement de ces acquisitions, les établissements bancaires proposent des offres et des conditions de financement spécifiques, avec des garanties de l’Etat.

Ces crédits sont proposés à des taux avantageux et peuvent être remboursés selon l’activité saisonnière de l’agriculteur. Malgré ces accumulations de prêts, les exploitants agricoles sont toujours confrontés au problème d’endettement. Certaines familles d’agriculteurs et d’éleveurs vivent dans une grande précarité. C’est ce qu’ont rapporté les Associations Confédération paysanne et Solidarité paysans qui offrent un soutien moral et psychologique à ces paysans. Elles aident également dans le montage d’un dossier de surendettement.

L’endettement excessif des agriculteurs

Rappelons d’abord que théoriquement tous les secteurs de l’agriculture peuvent avoir accès à un prêt :

  • personnel (pour l’achat de matériel et le financement à crédit de leur activité),
  • renouvelable (une réserve d’argent à leur disposition qu’ils peuvent utiliser si besoin est),
  • affecté (emprunt dédié à une ou plusieurs opérations spécifiques).

Les exploitants agricoles souscrivent à l’un de ces prêts pour payer leurs factures ou leurs dettes professionnelles avec l’argent de ces crédits. C’est là que débute le surendettement. S’ils ont déjà souscrit un autre crédit et ajoutent encore un autre prêt pour rembourser les échéances, l’endettement excessif est à l’horizon.

Les causes de cette situation difficile sont nombreuses :

  • manque de fonds et de trésorerie,
  • dettes URSSAF,
  • récolte insatisfaisante due au mauvais entretien des terrains ou du bétail,
  • infrastructures d’exploitation inadéquates,
  • dettes fiscales et impôts,
  • problèmes avec les propriétaires des terrains ou avec les baux ruraux,
  • problèmes de santé, de divorce, etc.

Face à toutes ces difficultés, l’agriculteur pourrait entrer dans une spirale d’endettement s’il accumule des crédits. Les éleveurs de bœufs et de porcs sont les plus surendettés. Le surendettement sévit surtout dans des départements tels que la Nièvre, la Loire-et-Cher, les Côtes d’Armor, Meurthe-et-Moselle, la Savoie, etc.

Comment y remédier ?

Pour y remédier, il existe, entre autres, la solution du rachat de crédit. Cette formule permet de consolider ou de regrouper divers prêts, dettes et crédits en un seul contrat de prêt unique plus facile à gérer. Cela pourrait assainir le budget. Les mensualités du nouveau crédit regroupé seront moins élevées que le montant total des anciens crédits. Notez toutefois que le délai de remboursement s’étend sur une période plus longue. La mensualité et la durée de remboursement du nouveau prêt seront définies lors de l’offre de crédit.

Peuvent être incluses dans le rachat, les dettes impayées comme les impôts, les assurances et les loyers ainsi que les découverts bancaires. Dans l’étude du dossier, la société de rachat doit établir un bilan financier de la situation de l’agriculteur ou de l’éleveur. Elle aura donc besoin d’un dossier complet comprenant les tableaux d’amortissement des prêts, les différents échéanciers, etc.

Si l’exploitant agricole ne souhaite pas aller jusqu’au plan de redressement personnel, il est conseillé d’opter pour le rachat de crédit ou, à défaut, de négocier les conditions de ses crédits avec ses banques. Cette négociation peut consister à demander un report de remboursement auprès de l’organisme de crédit. Car si le surendettement devient inextricable, cela pourrait conduire à la liquidation de biens (vente de tracteur, de moissonneuse, etc.) si les créanciers pressent l’agriculteur de tous côtés pour le paiement des arriérés.

Certains organismes de crédit acceptent de regrouper des prêts et trésorerie des exploitants agricoles même si ces derniers n’ont pas de garanties, c’est-à-dire qu’ils ne possèdent pas de propriété. Tel est, par exemple, le cas de Crédit Agricole. Leur offre s’étend à la consolidation de dettes classiques et les crédits renouvelables, à la renégociation du prêt immobilier et à la restructuration de dettes à la consommation et le crédit immobilier. Ce dernier cas s’adresse aux agriculteurs qui ont souscrit un crédit pour acheter leur bâtiment d’exploitation ou leur terre.

Puisque c’est l’endettement excessif qui conduit au rachat de crédit, il vaut mieux connaître les circonstances qui peuvent mener à cette situation. Avant de faire des prêts agricoles, un agriculteur ou un éleveur doit tenir compte des éléments suivants :

  • la somme prêtée doit être remboursée, qu’elle soit dédiée au renouvellement de son outil de travail ou à l’achat de nouveau matériel agricole, le crédit l’engage pendant la durée du remboursement définie par le contrat.
  • Par ailleurs, les crédits permettent à un exploitant agricole de financer l’achat d’un terrain ou de développer son système de production (stockage, conditionnement des récoltes ou de lait etc.). Dès que l’agriculteur a les moyens financiers, il devra aussi diversifier ses récoltes et ses produits afin qu’ils soient plus rentables.

Le type de prêt encadré par ces crédits est le crédit affecté. Cependant, si l’agriculteur souscrit également à un prêt de consommation en dehors de cet autre prêt alors que son chiffre d’affaires n’est pas réellement florissant, il risque de perdre le contrôle de son budget.

La restructuration de dettes offre la possibilité de rééquilibrer son budget, à condition de faire preuve de rigueur dans la gestion de son refinancement. Le point crucial à retenir lorsqu’on choisit cette option, c’est l’importance de ne pas contracter d’autres crédits. Certains organismes de crédit acceptent de racheter les crédits des agriculteurs, mais il est essentiel de faire un choix judicieux pour éviter l’engrenage du surendettement.

Avant de choisir la société de rachat qui pourra prendre en charge ses crédits, l’agriculteur ou l’éleveur devra comparer les différentes offres disponibles sur le marché. Pour cela, il peut utiliser un simulateur de rachat de crédit en ligne ou faire appel à un courtier fiable. Le simulateur, comme son nom l’indique, permet de simuler le projet de refinancement. C’est un outil gratuit et sans engagement qui permet à l’agriculteur d’obtenir plusieurs devis, facilitant ainsi la recherche de la société proposant le taux d’intérêt et les conditions de prêt les plus abordables.

Les professionnels du secteur agricole qui cherchent à obtenir le meilleur taux de rachat et à réduire le coût total de cette opération devraient systématiquement utiliser un simulateur de rachat de crédit. Cette approche leur permet d’avoir une idée des différents aspects de ce dispositif financier, notamment :

  • le montant de la nouvelle mensualité réduite,
  • le taux d’intérêt du nouveau prêt,
  • les frais de dossier,
  • les frais d’assurance-emprunteur, etc.

Cet outil est recommandé que ce soit pour un rachat de crédits à la consommation, un rachat de prêt immobilier ou un rachat de crédit hypothécaire. Pour l’utiliser, l’emprunteur devra remplir un formulaire avec les informations demandées, telles que :

  • le montant total de ses crédits à la consommation et prêt immobilier,
  • le montant du capital restant dû,
  • ses revenus et charges mensuelles fixes, etc.

Au cours de cette simulation, il aura aussi la possibilité d’indiquer s’il souhaite emprunter une somme d’argent pour la réalisation d’un projet personnel ou pour augmenter son solde bancaire. Une fois ces données financières fournies, le courtier les analyse puis, en tant que connaisseur expérimenté du marché, oriente le dossier vers le partenaire bancaire susceptible d’accorder le rachat dans les meilleures conditions. C’est pour cette raison qu’il est préférable de faire appel à un mandataire non-exclusif des banques.

Ce professionnel du courtage peut trouver le contrat de refinancement le plus adapté aux besoins de l’emprunteur parmi les nombreux organismes de prêt. Grâce à son expertise et à son expérience, il est capable de proposer une offre de rachat avantageuse, permettant à l’emprunteur de réaliser des économies substantielles. Ce dernier est évidemment libre d’accepter ou de refuser la proposition de rachat. En résumé, n’hésitez pas à utiliser le simulateur de rachat en haut de cette page afin de résoudre au plus vite une situation d’endettement.

La démocratisation du rachat de crédit remonte déjà à plus d’une décennie, mais certains agriculteurs et éleveurs ne maîtrisent pas encore son fonctionnement. Par conséquent, ils méconnaissent les avantages potentiels qui en découlent. Il est grand temps pour la profession agricole de tirer parti de cette opération bancaire afin de :

  • Alléger la gestion budgétaire
  • Bénéficier de mensualités réduites
  • Obtenir le taux d’intérêt le plus bas possible, etc.

Effectivement, de nombreux professionnels de l’agriculture contractent des crédits pour financer leur exploitation, que ce soit pour l’achat de machines, de matériel agricole, de terrains, de véhicules, pour la construction de bâtiments d’élevage, pour subvenir aux besoins des études de leurs enfants, ou encore pour des crédits à la consommation et des prêts immobiliers. Au fil des années, certaines personnes accumulent un excès de crédits et de dettes, se retrouvant ainsi dans une situation critique avec un taux d’endettement excessif, voire un surendettement, mettant en péril les moyens d’exploitation agricole.

Pour sortir de cette impasse, le rachat de crédit pour profession agricole représente une alternative intéressante. Les professionnels de l’agriculture et de l’élevage en difficulté financière et/ou ayant des projets agricoles rationnels peuvent bénéficier des avantages de cette opération. Voici une liste d’avantages, qui est loin d’être exhaustive :

  • Regroupement de tous les crédits en cours auprès d’un seul interlocuteur, simplifiant ainsi la gestion des échéances
  • Montant de mensualité abordable, améliorant ainsi le reste à vivre
  • Taux unique, avec la possibilité d’obtenir le taux le plus bas possible
  • Règlement des arriérés d’impôts et des dettes fiscales, améliorant ainsi la situation et réduisant le stress
  • Obtention d’une trésorerie supplémentaire pour développer les exploitations et/ou faire face aux aléas de la vie
  • Regroupement des dettes sans nécessité de garantie hypothécaire pour les professionnels agricoles
  • Etc.

Il est important que les professionnels agricoles qui souhaitent obtenir les meilleures conditions de prêt utilisent un simulateur de rachat de crédit spécifique à la profession agricole. Dans le cas contraire, il est recommandé de se faire aider par un courtier spécialisé en rachat de crédit.

Il est important de prendre en compte le fait que le lancement d’une exploitation agricole nécessite des fonds suffisants pour :

  • Acquérir du matériel agricole adapté
  • Acquérir des terrains et des bâtiments d’exploitation
  • Répondre aux besoins spécifiques liés au domaine choisi par l’exploitant agricole

Pour mener leurs activités de manière adéquate et conforme aux exigences, de nombreux agriculteurs souscrivent à des crédits « agricoles » lorsque les aides publiques et celles de l’Union européenne ne suffisent plus. Certains agriculteurs s’accumulent ainsi des dettes professionnelles agricoles. Dans certains cas, ils sont contraints de le faire pour diverses raisons. Gérer une exploitation agricole n’est donc pas toujours facile, et il est important d’éviter le surendettement. Pour ce faire, l’exploitant agricole peut optimiser le remboursement de ses mensualités tout en profitant d’un taux d’intérêt unique proposé par la plupart des organismes de rachat de crédit.

En effet, il existe sur le marché des offres de rachat de crédit spécifiquement dédiées aux agriculteurs qui rencontrent des difficultés financières et des problèmes de liquidité. Le rachat de crédit pour agriculteur est conçu de manière à permettre à l’agriculteur de disposer d’une trésorerie tout en respectant ses paiements mensuels. L’établissement de financement accorde un taux d’intérêt aussi bas que possible et une période de remboursement plus longue. La réduction des mensualités peut atteindre jusqu’à 60%, en fonction de la capacité de négociation de l’agriculteur ou de son courtier spécialisé en rachat de crédit pour agriculteur.

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