Rachat de crédit simulation

Simulateur de regroupement de prêt en ligne avec réponse immediate

Comment récupérer les documents originaux suite au refus de son rachat de crédit ?

Lors d’une demande de rachat de crédit, le risque de refus est certainement prévisible du fait que la négociation peut être difficile. En général, durant la phase d’étude du dossier, l’emprunteur peut envoyer uniquement les photocopies des documents requis pour éviter les procédures de récupération des documents originaux en cas de refus.

Le rachat de crédit, également connu sous les termes de regroupement de prêts, restructuration de crédits ou refinancement de prêts, consiste à rassembler tous les prêts en cours en un seul prêt. L’objectif est de réduire le montant des mensualités, le taux d’endettement et parfois le taux d’intérêt. Le résultat attendu du rachat de crédits est d’augmenter le reste à vivre, ce qui permet d’envisager de nouveaux projets lorsque la gestion du budget est facilitée.

Les motifs de refus d’une demande de rachat de crédit peuvent être liés au comportement financier et aux habitudes de vie de l’emprunteur, notamment :

  • L’emprunteur est en situation d’interdiction bancaire ou fiché FICP à la Banque de France, même si son dossier est en cours auprès d’une commission de surendettement.
  • Le dernier rachat de crédit date de moins d’un an.
  • L’emprunteur est engagé dans plusieurs crédits personnels à des dates proches.
  • L’emprunteur ne dispose pas de compte épargne ni de réserves financières.
  • L’établissement financier a découvert que l’emprunteur présente une addiction aux jeux, entraînant des dettes de jeu.
  • Les habitudes de l’emprunteur à abuser des crédits renouvelables suscitent des inquiétudes chez les banques.
  • L’emprunteur est un chef d’entreprise en situation de liquidation judiciaire.
  • L’emprunteur présente une carence d’amortissement d’un crédit immobilier.
  • Parmi les crédits en cours à regrouper, certains présentent des impayés et l’emprunteur est irrégulier vis-à-vis des remboursements.
  • Les trois derniers bilans de l’emprunteur indiquent un déséquilibre ou une dégradation des revenus de son entreprise en tant que travailleur non-salarié (TNS) ou professionnel libéral.
  • L’emprunteur est en instance de divorce sans consentement mutuel, alors qu’il souhaite effectuer un rachat de soulte.
  • Le rachat de crédit est demandé dans le cadre d’une promotion immobilière.

La liste n’est pas exhaustive, mais il est important de trouver des solutions pour contourner le refus du dossier de demande de rachat de crédit.

Les motifs pour demander un rachat de crédit ne manquent pas, notamment le projet de faire des économies sur les mensualités, la résolution d’une situation financière précaire ou temporairement difficile, ou le souhait d’avoir qu’un seul interlocuteur, etc. Cependant, il est possible d’être refusé par les établissements de financement. Pour éviter le refus, voici quelques conseils destinés aux emprunteurs qui envisagent un projet de rachat de crédits.

L’emprunteur doit présenter un dossier solide et complet, comprenant toutes les pièces justificatives requises, notamment :

  • La situation professionnelle, de préférence en CDI.
  • Les ressources financières, de préférence en croissance au cours des 3 dernières années.
  • Le taux d’endettement, de préférence inférieur à 30%.
  • Les informations détaillées sur les crédits en cours à racheter.

Si possible, l’emprunteur peut proposer d’ores et déjà une caution ou une garantie pour que l’établissement de financement soit rassuré sur sa solvabilité en cas de non-paiement des mensualités. Il peut également démontrer à l’établissement de financement un apport personnel, la possession d’un bien hypothéquable ou encore une caution solidaire d’un proche ayant la qualité requise.

D’autres conseils pour éviter le refus :

  • Il est recommandé de tenter sa chance auprès de plusieurs établissements de financement et non seulement auprès d’une seule banque habituelle. Cela peut être facilité par l’utilisation des simulateurs en ligne ou en faisant appel à un courtier spécialisé en rachat de crédit.
  • Il est essentiel de comparer les conditions de souscription et de choisir celles qui conviennent le mieux à sa situation. Cependant, il faut garder à l’esprit que le risque de refus est prévisible.
  • Il est également important d’être vigilant quant aux conditions de rachat de crédit proposées par certains établissements, notamment en ce qui concerne les taux d’intérêt, qui peuvent être soit trop élevés, soit trop bas.

Si l’emprunteur gère seul sa demande de rachat de crédit, il est fort possible qu’il ne maîtrise pas certains détails techniques de cette opération, ce qui pourrait entraîner un refus. En cas de refus, il est conseillé à l’emprunteur de faire appel à un professionnel spécialisé en rachat de crédit, tel qu’un courtier de confiance, afin de bénéficier d’une aide dans les négociations avec les établissements de financement. Un refus peut être négociable, mais il nécessite l’intervention d’un spécialiste ayant la confiance des établissements de crédit.

Une autre solution, en cas de refus du rachat de crédit, est de se tourner vers le prêt entre particuliers. Ce système est en vogue depuis quelques années, mais il convient de noter que le taux d’intérêt risque d’être relativement élevé.

Pour un emprunteur constatant que sa situation financière est instable et qu’il ne parvient pas à remplir les conditions d’octroi d’un rachat de crédit, il est recommandé de faire des efforts pour l’améliorer autant que possible avant de refaire la demande de rachat de crédit. Sinon, il lui est conseillé de déposer un dossier de surendettement et de consulter la commission de surendettement auprès de la Banque de France.

Avis aux emprunteurs dont la demande de rachat est refusée : le courtier ou l’établissement de financement n’a pas le droit de taxer d’aucun frais de la part de l’emprunteur, ni de facturer des indemnités de pénalités, conformément à la Loi Murcef du 11/12/2001. Ces organismes sont tenus de rembourser intégralement si des frais ont été prélevés à l’avance. Par la même occasion, l’emprunteur a le droit de récupérer ses documents originaux.


Avis des internautes sur la Caisse d’Epargne :

  • Conseils et accompagnement : Des clients ont loué la disponibilité et l’expertise des conseillers financiers de la Caisse d’Épargne, qui les ont aidés à prendre des décisions financières éclairées en fonction de leurs besoins spécifiques.
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