En général, un emprunteur fiché FICP, même s’il est propriétaire, ne peut pas prétendre au rachat de crédit. Il s’avère que c’est une sanction pour les propriétaires qui ne maîtrisent pas leur gestion financière. Une telle sanction risque de favoriser le surendettement. A cet effet, la Banque de France a proposé une nouvelle solution de synthèse appelée « rachat de crédits FICP ». Sont considérés comme emprunteurs surendettés et enregistrés dans le ficher ceux qui n’ont pas respecté deux mensualités successives et qui n’ont pas régularisé leur découvert bancaire.
En général, un particulier emprunteur fiché FICP ne gagne plus la confiance des établissements de financement. A noter que lors d’une demande de crédit ou de rachat de crédits, les organismes prêteurs consultent systématiquement le fichier qui est géré par la Banque de France. Conjointement à l’enregistrement à la Banque de France, la banque de l’emprunteur lui avertit de sa situation. A partir de cette notification ou avertissement, l’emprunteur peut disposer de trente jours (30) pour régulariser la situation, sinon la sanction est appliquée, c’est-à-dire une inscription aux FICP pour une durée de 5 ans ferme.
Le rachat de crédit FICP devient incontournable lorsque les prêts s’accumulent, lorsque une part des charges locatives, par exemple, devient très pesante et dépasse parfois les 35% des revenus, lorsque les diverses tentations ne sont pas maîtrisées aux vues des appareils dernier cri ou des vacances ou des voyages à l’étranger et d’autres produits de consommations. Les problématiques ouvrent la voie à un taux d’endettement relativement élevé, peut-être même un surendettement. En cherchant des solutions tampons, la difficulté financière devient de plus en plus critique. C’est un contexte pour un rachat de crédit FICP, car les créanciers ne peuvent plus attendre, car les effets escomptés ne sont pas atteints. Certains emprunteurs qui pratiquent ces solutions tampons sont condamnés dans la spirale des dettes. Les incidents de paiements aboutissent souvent au fichage FICP. Pour résoudre les problèmes qui risquent de s’aggraver, les emprunteurs surendettés se tournent vers le rachat de crédit FICP, du fait que la restructuration classique de dettes n’est plus faisable.
Il faut tout d’abord souligner que le rachat de crédit FICP est impossible pour un locataire ou pour une personne hébergée et fichée. Pour les propriétaires, le rachat de crédit FICP est matérialisé en premier lieu par la levée du fichage FICP. Cette opération rachat de crédit FICP pour propriétaire permet de dégager des fonds pour solutionner les impayés et pour régler le capital restant dû des crédits en cours. Pourtant, si l’emprunteur ne connaît pas le chemin pour trouver le rachat de crédit FICP, l’aide d’un intermédiaire en opération de banque est toujours la bienvenue, pour trouver la banque qui accepte les emprunteurs fichés FICP. Il est possible d’obtenir un emprunt en étant fiché par la Banque de France, en adressant une demande de microcrédit auprès d’organismes spécialisés tels que : Cashper, Finfrog, FLOA Bank, etc. Dans la plupart des cas, si une des banques traditionnelles s’intéresse au rachat de crédit d’un emprunteur fiché FICP, il est recommandé de présenter un profil très sérieux et rassurant. C’est dans le but de maximiser ses chances auprès de ces types d’institutions. On ne dit pas que les banques traditionnelles rejettent automatiquement les dossiers de rachat d’un emprunteur fiché FICP, suivi d’une trésorerie supplémentaire. Il est rare de les voir donner suite à de telles demandes. La chance peut être renforcée si l’emprunteur est propriétaire d’un immobilier à mettre en garantie hypothécaire.
Tous les propriétaires d’un bien immobilier devront payer des impôts. Ces participations sociales peuvent aussi être fixées sur le revenu cadastral du bien en question. Ce dernier est fixé en fonction de la valeur vénale du bien bâtie à laquelle on ajoute un taux de 5.3%. Considéré comme un « précompte immobilier », le revenu cadastral n’est pas seulement dû par les propriétaires. Les usufruitiers, les possesseurs, les emphytéotes ou encore les superficiaires doivent également payer ce genre d’obligation sociale. Ce sera le cas dès le 1er janvier de l’année d’exercice ou de possession.
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