Rachat de crédit simulation

Simulateur de regroupement de prêt en ligne avec réponse immediate

Tableau de simulation rachat de crédit sur Excel

Créer un tableau Excel pour simuler un rachat de crédit permet d’analyser finement les enjeux d’un regroupement. En structurant les colonnes autour du capital restant dû, des taux, de la durée et des mensualités, l’utilisateur peut automatiser les calculs grâce aux formules PMT, CUMIPMT ou IPMT. L’outil devient interactif grâce à des champs modifiables de taux ou de durée. Comparatif avant/après, calcul du gain ou du surcoût total, tableau d’amortissement : Excel devient un simulateur puissant, adaptable à tous les profils. Ce fichier structuré peut aussi servir d’appui solide pour négocier une offre de rachat auprès d’un courtier ou d’une banque.

Vous pouvez télécharger gratuitement notre tableau de simulations de RACHAT DE CRÉDIT sous Excel

Avant toute chose, il faut structurer le tableau en fonction des données essentielles à suivre. La première colonne doit indiquer le capital restant dû, car c’est le point de départ de toute simulation. Ensuite, ajoute une colonne pour le taux d’intérêt appliqué à chaque ligne de prêt. La durée du nouveau crédit doit aussi apparaître clairement, tout comme les mensualités estimées, calculées selon la méthode d’amortissement choisie. Intègre une colonne dédiée au coût total du crédit après rachat, permettant une vision immédiate de l’économie ou du surcoût potentiel. Chaque colonne répond à un objectif précis : visualiser, comparer et ajuster. Cette structure de base permet ensuite d’alimenter des formules automatiques pour tester plusieurs scénarios, en modifiant soit le taux, soit la durée, soit le montant souhaité. C’est la première étape pour transformer Excel en un véritable simulateur. Souhaites-tu un exemple prêt à remplir ?

Pour simuler un regroupement de crédits, il est crucial d’organiser le tableau de façon à isoler chaque emprunt existant. Chaque ligne représente un crédit distinct, qu’il soit immobilier ou à la consommation. Indique pour chacun le capital restant dû, le taux d’intérêt, la durée restante et la mensualité en cours. Une ligne de synthèse viendra ensuite compiler les totaux : encours cumulé, mensualités globales, durée moyenne pondérée, coût total actuel.

À partir de ces données, une nouvelle section doit être ajoutée pour simuler les conditions après rachat : nouveau taux, durée unique, mensualité recalculée, et comparaison du coût global. Cette double entrée, avant/après, permet une lecture immédiate des gains potentiels. Le tableau devient ainsi un outil de pilotage, capable d’intégrer plusieurs cas de figure. En jouant sur les hypothèses, l’utilisateur peut tester l’impact d’un allongement de durée ou d’une baisse de taux sur l’ensemble de ses engagements.

Pour transformer un tableau en véritable outil de simulation, certaines fonctions Excel sont incontournables. La fonction **PMT** calcule automatiquement la mensualité à partir du taux, de la durée et du montant emprunté. En indiquant un taux mensuel, elle permet d’ajuster finement les projections. Pour ventiler chaque échéance, **CUMPRINC** et **CUMIPMT** sont précieuses : la première détermine la part de capital remboursée sur une période, la seconde celle des intérêts.

Ces deux fonctions offrent une lecture claire de l’amortissement du prêt. **TIR** permet de simuler un taux interne de rentabilité si l’on souhaite évaluer la performance globale du rachat dans un tableau dynamique. Ces outils combinés donnent vie aux colonnes du tableau et offrent une lecture chiffrée en temps réel. Il devient alors facile d’ajuster les paramètres d’un prêt hypothétique et de mesurer l’impact d’un changement de taux ou de durée sur l’ensemble du projet.

Pour mesurer concrètement l’intérêt d’un rachat de crédit, il est essentiel d’intégrer un tableau comparatif clair au sein du fichier Excel. Ce tableau met en regard les données clés avant l’opération et celles projetées après regroupement. On y fait figurer, côte à côte, les mensualités cumulées actuelles et celles estimées après rachat, la durée totale restante dans chaque cas, ainsi que le montant global des intérêts.

Cette visualisation directe permet de juger de la pertinence financière de l’opération, notamment si la réduction des mensualités implique un allongement de la durée. En automatisant les calculs via des formules référencées aux tableaux de chaque situation, toute modification dans les hypothèses est instantanément répercutée dans le comparatif. Cette logique de double affichage transforme le fichier en outil de décision et facilite l’évaluation de plusieurs scénarios pour arbitrer entre économies à court terme et coût global à long terme.

TABLEAU DE SIMULATION DE RACHAT DE CRÉDIT

Numéro d’échéance Date Restant dû Intérêt payé Capital remboursé
1er mois 15/04/24 150 000,00 € 500,00 € 702,50 €
12ème mois 15/04/25 142 297,50 € 474,33 € 728,17 €
24ème mois 15/04/26 133 569,87 € 446,90 € 755,60 €
36ème mois 15/04/27 123 814,27 € 417,19 € 785,31 €
48ème mois 15/04/28 113 929,95 € 385,99 € 816,51 €
60ème mois 15/04/29 103 913,44 € 353,18 € 849,32 €
72ème mois 15/04/30 93 761,13 € 318,65 € 883,85 €
84ème mois 15/04/31 83 469,28 € 282,27 € 920,23 €
96ème mois 15/04/32 73 033,05 € 243,91 € 958,59 €
108ème mois 15/04/33 62 446,46 € 203,44 € 999,06 €
120ème mois 15/04/34 51 703,40 € 160,73 € 1 041,77 €
132ème mois 15/04/35 40 797,63 € 115,63 € 1 086,87 €
144ème mois 15/04/36 29 722,76 € 68,01 € 1 134,49 €
156ème mois 15/04/37 18 472,27 € 17,31 € 1 185,19 €
168ème mois 15/04/38 7 035,08 € 1,17 € 1 201,33 €
180ème mois 15/04/39 0,00 € 0,00 € 7 035,08 €

Pour rendre la simulation interactive, il est utile d’insérer un champ dédié au taux d’intérêt dans le fichier Excel. Ce champ, modifiable à volonté, agit comme une variable de contrôle : en changeant simplement ce taux, l’utilisateur peut observer en temps réel les répercussions sur les mensualités et le coût total. En liant ce champ aux formules PMT et CUMIPMT, chaque modification actualise immédiatement les résultats affichés dans les colonnes du tableau.

Cela permet de comparer plusieurs hypothèses, d’anticiper une négociation ou de s’adapter à l’évolution des taux du marché. Ce fonctionnement rend le fichier plus souple et mieux adapté à un usage pratique, que ce soit pour un particulier en phase de réflexion ou pour un conseiller souhaitant présenter différentes offres à un client. Il devient alors possible d’optimiser la durée du rachat ou d’évaluer l’impact d’un point de pourcentage sur le coût global.

Pour affiner une simulation de rachat de crédit, il est stratégique de rendre la durée paramétrable. En ajoutant une cellule modifiable dédiée à la durée de remboursement, l’utilisateur peut ajuster cette variable et mesurer immédiatement son influence sur les mensualités et le coût total. Cette durée devient alors un levier d’optimisation : plus longue, elle réduit les mensualités mais augmente les intérêts ; plus courte, elle limite le coût global mais exige un effort budgétaire mensuel plus important.

En liant cette cellule aux fonctions PMT et CUMIPMT, chaque modification se reflète automatiquement dans le tableau. Le fichier peut même afficher des alertes conditionnelles selon que les mensualités dépassent un seuil défini. Ainsi, cette flexibilité permet d’ajuster l’échéancier en fonction d’un reste à vivre souhaité ou d’un objectif précis. Le tableau devient un outil d’aide à la décision, capable d’adapter ses projections aux besoins réels.

Un bon tableau Excel de simulation ne se limite pas aux chiffres bruts : il doit aussi fournir un indicateur de performance lisible. En intégrant une ligne de calcul dynamique, il devient possible d’afficher automatiquement la différence entre le coût total actuel des crédits et celui projeté après regroupement. Cette cellule synthétique indique clairement si l’opération génère une économie ou, au contraire, un surcoût.

La formule repose sur la soustraction entre les intérêts cumulés des prêts en cours et ceux du nouveau crédit unique. Ce calcul tient également compte des frais éventuels liés au rachat (indemnités, dossier, garanties), ce qui donne une estimation fidèle du bilan global. Ainsi, l’utilisateur dispose d’un indicateur fiable pour juger de la rentabilité réelle de l’opération. En modifiant la durée ou le taux, il peut observer l’évolution de ce gain ou de ce coût, ce qui renforce la pertinence décisionnelle de la simulation.

Après avoir simulé les conditions du rachat, il est utile de créer un tableau d’amortissement détaillé. Ce planning, construit ligne par ligne, restitue l’évolution mensuelle du capital remboursé, des intérêts versés et du solde restant dû. En partant de la nouvelle mensualité calculée, chaque mois affiche la part affectée au remboursement du capital et celle dédiée aux intérêts. Le capital restant est actualisé à chaque ligne, créant ainsi une lecture progressive de l’opération jusqu’à l’échéance finale.

Pour automatiser les calculs, les fonctions **IPMT** et **PPMT** sont recommandées. Elles répartissent précisément la charge mensuelle entre capital et intérêts, en fonction du taux et de la durée. Le tableau devient un outil de suivi rigoureux, utile aussi bien pour une projection que pour un contrôle réel après la mise en place du rachat. Cette visualisation aide à anticiper les évolutions du crédit et à mieux maîtriser son budget sur la durée.

Pour gagner du temps, un modèle Excel de simulation de rachat peut être téléchargé depuis des sites spécialisés en finance personnelle. Certains courtiers ou plateformes d’éducation financière proposent des fichiers gratuits, déjà structurés avec formules intégrées et zones personnalisables. Ces modèles permettent d’insérer rapidement ses données et de comparer différents scénarios sans connaissance avancée d’Excel.

Pour ceux qui préfèrent construire leur propre outil, il est possible de suivre un tutoriel étape par étape : définir les colonnes de base, ajouter les formules PMT, CUMIPMT, puis créer un tableau d’amortissement automatisé. On peut ensuite intégrer un champ de taux modifiable, un calcul dynamique du coût total et un comparatif avant/après. Le fichier final, une fois complété, devient un véritable simulateur personnalisé. Que l’on choisisse un modèle préexistant ou une création sur mesure, l’essentiel est de disposer d’un outil clair, fiable et adaptable à sa situation réelle. Souhaites-tu que je t’en génère un ?

Un fichier Excel bien structuré peut devenir un véritable levier lors d’un rendez-vous avec un professionnel. En présentant une simulation complète, incluant les mensualités actuelles, le coût global et plusieurs hypothèses de rachat, l’emprunteur démontre sa maîtrise du sujet. Cette préparation rassure l’interlocuteur et place la discussion sur un terrain technique plutôt qu’émotionnel. Il est alors plus facile de justifier une demande de taux revu à la baisse ou de frais réduits, en s’appuyant sur des données précises.

En comparant les offres proposées avec les projections déjà établies, il devient possible de souligner les écarts ou d’interroger les conditions proposées. Ce fichier n’est pas un simple outil de calcul : il montre que l’emprunteur a anticipé, comparé, réfléchi. Cet argument de méthode peut peser dans la négociation, en particulier face à un courtier chargé de défendre les intérêts de son client auprès des établissements financiers.

Banque Taux d’intérêt TAEG
BoursoBank 4,05% 4,17%
Axa Banque 4,10% 4,25%
BNP Paribas 4,15% 4,29%
Banque Postale 4,20% 4,33%
Banque Populaire 4,25% 4,38%
Crédit Agricole 4,30% 4,44%
Caisse d’Epargne 4,35% 4,49%
Fortuneo 4,40% 4,41%
SG 4,40% 4,51%
Crédit Mutuel 4,45% 4,54%
LCL 4,48% 4,58%
CIC 4,50% 4,72%

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