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Simulateur de regroupement de prêt en ligne avec réponse immediate

Crédits à la consommation savoir éviter les pièges

Le recours aux crédits à la consommation est entré dans les moeurs des Français. En effet, ils font appel à ce dispositif financier pour assurer les dépenses plus ou moins importantes auxquelles ils ont à faire face au quotidien. Une fois les fins de mois dans le rouge, l’engrenage de l’endettement (et du surendettement) n’est pas loin. Pour éviter les dérives, voici donc nos conseils pour éviter les pièges de ces crédits simples d’accès.

Avant de parler des pièges du prêt à la consommation, faisons un bref tour d’horizon sur les différents types de crédit à la consommation. En premier lieu, il y a le crédit renouvelable, aussi appelé crédit revolving. Celui-ci est une réserve d’argent que l’emprunteur peut utiliser à sa guise. Elle se reconstitue au fur et à mesure que l’emprunteur rembourse la somme utilisée. Les intérêts de ce type de crédit sont généralement plus élevés que pour d’autres types de crédits, et les mensualités varient en fonction de l’utilisation de la réserve. Ainsi, plus la personne prend de temps à rembourser la réserve d’argent, plus le coût total du crédit augmente.

On retrouve également le crédit personnel, qui est un prêt amortissable remboursable par mensualités fixes selon un échéancier défini au départ. Les fonds obtenus sont utilisables librement par l’emprunteur. Enfin, il existe le crédit affecté qui est destiné à l’acquisition d’un bien spécifique comme un électroménager ou une voiture par exemple. L’accord du prêt est directement lié à la vente du bien. Ainsi, si la vente est annulée, le prêt l’est également, et vice versa.

Pensez à deux fois avant de souscrire un prêt à la consommation

Vous avez besoin de financement pour un projet ? Ne vous précipitez pas immédiatement sur une offre de prêt à la consommation. En effet, c’est un engagement financier qui vous oblige à rembourser le capital emprunté ainsi que les intérêts associés. Même un petit emprunt peut conduire à une situation de surendettement si l’on ne fait pas attention. Afin de protéger les emprunteurs, notamment ceux avec des revenus modestes, les conditions d’accès à ces types de prêts ont été durcies. Avec un taux d’endettement maximal de 33% pour un premier emprunt, obtenir un crédit à la consommation est devenu plus difficile qu’il y a à peine 5 ans.

Le mauvais choix du type de crédit :

Parmi les 3 types de prêts cités précédemment, il est préférable d’éviter le crédit renouvelable dans la mesure du possible. En souscrivant à ce type de prêt, on risque d’utiliser sa réserve de crédit pour des dépenses non nécessaires. De plus, les petites sommes qui s’accumulent peuvent générer des intérêts conséquents. Il est donc préférable de privilégier les crédits affectés lors d’un achat précis. Ceux-ci ont l’avantage d’être moins coûteux et d’avoir des mensualités fixes. De plus, l’emprunteur connaît à l’avance le montant qu’il devra payer chaque mois. Si le montant à emprunter excède 1000 euros, l’organisme prêteur doit normalement proposer à l’emprunteur un prêt personnel classique en alternative au crédit renouvelable. Il convient également de noter que, en raison de sa grande flexibilité, le crédit renouvelable peut conduire à une situation de surendettement pour certains ménages.

Se méfier des offres de taux douteux

Certaines publicités agressives affichent par exemple des taux promotionnels de 3% à 5% pour la souscription à un crédit renouvelable. Or, le taux normal de ce type de crédit varie généralement entre 15% à 20%. Ces offres promotionnelles sont souvent liées à l’acquisition d’un bien particulier, comme un électroménager. Après la souscription, l’emprunteur découvre souvent que ce taux promotionnel est limité dans le temps, généralement pendant 6 ou 12 mois. Passé cette période, les taux peuvent atteindre des niveaux très élevés. Il convient également de noter que le taux d’intérêt moyen pour un crédit personnel est d’environ 6,6%, bien que cela puisse varier en fonction du montant emprunté et de la durée du prêt.

Le coût total du crédit

Le coût total du crédit dépend du taux d’intérêt et de la durée du prêt. Certains organismes de crédit peuvent proposer des prêts à des taux très élevés, qui peuvent rendre le coût total du prêt plus élevé que prévu. Il est donc essentiel de comprendre les termes de votre prêt avant de signer.

La souscription à une assurance

L’assurance emprunteur, qui couvre le décès, l’invalidité ou l’incapacité de travailler, est souvent proposée lors de la souscription d’un prêt, en particulier pour les prêts immobiliers. Pour un prêt personnel d’un montant modeste, cette assurance peut être superflue. Cependant, pour des prêts plus importants, les organismes de crédit peuvent proposer cette assurance comme une condition pour obtenir le prêt. Il est important de noter que le coût de l’assurance peut varier de 0,2% à 0,5% du montant total du prêt, ce qui peut augmenter le coût total du prêt. En outre, dans certains cas, le remboursement de l’assurance est intégré dans la mensualité du prêt, ce qui peut augmenter la durée du remboursement et le coût total du prêt. Dans le cas d’un prêt immobilier, il est conseillé de comparer les offres d’assurance avant de souscrire.

Le choix des mensualités

Lors du remboursement d’un crédit à la consommation, il faut savoir que plus les mensualités sont élevées, moins les intérêts sont importants. Selon la loi Lagarde, le remboursement d’un crédit à la consommation de moins de 3 000 euros doit être effectué dans un délai de 36 mois. Si l’emprunteur en a les moyens, il peut rembourser son prêt en un an ou deux. Cependant, certains organismes de crédit peuvent proposer un échéancier de remboursement étalé sur la durée maximale autorisée par la loi. Pour éviter ce piège, il peut être préférable de proposer des mensualités plus élevées que celles suggérées par l’organisme de crédit.

Vérifier les pénalités de remboursement anticipé

Les prêteurs ont le droit de prélever une indemnité en cas de remboursement anticipé pour les prêts à la consommation supérieurs à 10 000 euros. L’emprunteur devra payer une pénalité de 1% du montant emprunté s’il rembourse le prêt dans l’année suivant la signature du contrat, et 0,5% si le remboursement a lieu plus d’un an après la signature du contrat.

En résumé, bien que les crédits à la consommation soient utiles pour financer des achats, ils peuvent aussi présenter des pièges. Il est donc important de faire preuve de prudence lors de la souscription d’un prêt à la consommation.

  • Le choix du type de prêt à la consommation
  • La compréhension et la vérification du coût total du crédit
  • Les implications de la souscription à une assurance
  • Les véritables coûts derrière les offres de taux promotionnels

Le rachat de crédit pour éviter le cumul de crédits à la consommation est un moyen de consolider plusieurs emprunts bancaires en un seul. Il est possible d’y inclure les dettes fiscales et sociales, ainsi que des dettes comme les découverts bancaires, les factures impayées d’électricité et de gaz, ou les taxes foncières non payées.

Des mensualités moins élevées

Ce dispositif financier est particulièrement prisé par ceux qui ont plusieurs crédits en cours et qui souhaitent bénéficier de mensualités moins élevées. Les propriétaires, les locataires et même les personnes hébergées gratuitement peuvent tous recourir à cette option. Avec le rachat de crédit, les emprunteurs n’auront plus qu’un seul interlocuteur, une seule mensualité à payer et une seule assurance. C’est une solution couramment utilisée pour se débarrasser des crédits renouvelables à taux élevé.

Pour permettre la baisse de la mensualité, les banques proposent généralement un allongement de la durée du prêt.

Prêt supplémentaire

Ce dispositif financier permet également d’obtenir un prêt supplémentaire, souvent appelé « trésorerie ». Ce montant sera intégré dans le rachat de crédit et peut être utilisé pour financer des projets personnels tels que :

  • l’achat d’un véhicule, d’un appareil électroménager,
  • le financement de travaux d’agrandissement ou d’amélioration de son bien immobilier, etc.

Pour augmenter ses chances d’acceptation d’une demande de rachat de crédit, il est conseillé d’utiliser un outil de simulation. Cet outil aide à avoir une idée plus précise de l’opération, sa faisabilité, son coût. Après avoir complété le formulaire, l’emprunteur peut aussi obtenir une offre de regroupement de dettes sans engagement si son projet est réalisable.

Dans le cadre du processus de rachat de crédit, le courtier est chargé de :

  • d’accompagner et de conseiller l’emprunteur dès l’élaboration des documents requis,
  • de démarcher les institutions financières,
  • de négocier le meilleur taux d’intérêt conforme aux besoins du débiteur.
Spécialiste dans le domaine des finances et des banques

Un courtier en rachat de crédit est donc un spécialiste dans le domaine des finances et des banques. Son premier rôle est d’accompagner l’emprunteur en situation de surendettement à élaborer le dossier de rachat de crédit. Les institutions financières sont en effet particulièrement exigeantes en ce qui concerne les documents nécessaires au rachat de crédit de consommation ou immobilier. C’est là que l’accompagnement par un courtier pour bien monter le dossier de demande de rachat de crédit prend tout son sens. En outre, son statut d’IOBSP est un gage de sérieux.

  • expert en techniques bancaires et en montage de dossier de rachat de crédit,
  • capable d’influer en faveur du demandeur auprès de la banque.
Expert en rachat de crédit

En tant qu’expert en techniques bancaires, et plus particulièrement des rachats de crédits, le courtier est le mieux placé pour négocier auprès des institutions financières. Son expertise et ses compétences en matière de rachat de crédit sont cruciales dans le processus. D’autant plus que les opérations y afférentes sont compliquées et que les banques sont exigeantes en ce qui concerne la qualité des documents fournis et la transparence de la situation du demandeur. Le taux d’intérêt le plus avantageux ainsi que les conditions les plus adaptées à la situation du demandeur dépendront donc de la qualité des arguments présentés par le courtier lors des négociations avec les institutions financières.

Pour le demandeur, faire appel à un courtier en rachat de crédit représente aussi un gain de temps important. Grâce à son expérience et ses connaissances des techniques bancaires et des processus de rachat de crédit, le courtier peut gérer l’ensemble des démarches complexes de bout en bout. Cela va du montage du dossier de rachat, en passant par les démarches et les négociations auprès des établissements financiers, jusqu’à la signature du contrat de rachat de crédit.

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