La loi Scrivener impose aux établissements prêteurs d’afficher obligatoirement dans leur offre de rachat un taux annuel effectif global ou TAEG. Cet indicateur, qui soutient et protège les emprunteurs, représente presque tous les frais relatifs à l’opération, en quelque sorte le coût total du rachat.
Un crédit immobilier racheté par l’emprunteur peut être combiné avec d’autres types de crédits. L’emprunteur peut choisir entre 3 types de rachat, à savoir : un rachat de crédit à la consommation, un rachat de prêt-relais et un rachat de crédit immobilier. Le meilleur taux n’est obtenu qu’en rapport à sa situation personnelle, professionnelle et aussi aux crédits en cours à regrouper ou non. Le rachat de crédit immobilier s’avère le plus avantageux parmi les trois suscités.
Les critères à négocier auprès de la banque pour de meilleures conditions et notamment pour diminuer les frais sont :
Tous ces critères ont des prix non négligeables. Pour alléger au maximum ces critères et/ou frais, il est nécessaire d’engager un courtier.
Le TAEG ou taux annuel effectif global, remplaçant récemment le TEG, représente un instrument financier pour calculer le coût total d’un rachat de crédit, également valable pour un crédit immobilier classique. Le TAEG est exprimé en pourcentage et appliqué sur le montant total des crédits à regrouper. De manière plus simpliste, le TAEG représente tous les frais à verser en sus du montant total des crédits à regrouper. Pour éviter que le rachat de crédit représente beaucoup trop de frais, le TAEG ne doit pas dépasser le taux d’usure fixé par la Banque de France, selon les textes en vigueur.
Le TAEG est composé de quelques éléments, à savoir :
Les frais de notaire ne sont pas comptés dans le TAEG, mais demeurent des frais pris en charge par l’emprunteur Le rachat de crédit n’est pas systématiquement trop cher ni moins cher, tout dépend de la capacité de négociation, mais aussi de la situation personnelle, professionnelle et financière de l’emprunteur.
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